CHAPITRE 1: I'm LOSt
Le soleil chauffe les pierres qui font les routes grossières, un nuage de particule de sable et de terre vole à chaque pas produit sur le doux sol friable et poussiéreux.
L’été frappe à la porte du petit bourg où ma vie se passe calmement.
Le nom importe peu, car ce n’est qu’un patelin pommer sans avenir comme beaucoup.
Je vis seul dans une grande maison construite il y a des générations et entretenue par le père de mon père.
Mon fils y vit avec moi, enfin il essaye, avec ça maladie qui le tue jour après jour.
Dès qu’il partira je partirai à mon tour, non la mort ne m’intéresse plus depuis longtemps mais le simple fait de quitter cette endroit, ou s’entremêle souvenir agréable et d’autres beaucoup moins, me fera du bien.
On peut trouver ce comportement égoïste mais a notre époque c’est la survie notre principale ennemis, et dans ce genre d’univers on devient vite un être égoïste et violent.
L’épée est souvent notre seul point dans les phrases de notre triste existante.
Comme foncer contre un mur de pierre, accélérer sans cesse jusqu'à que votre boite crânienne s’explose contre une matière plus résistante que vous.
Un mois c’est écoulé et mon enfant a rejoint sa douce mère dans la terre douce et moelleuse du printemps.
Il n’aura plus jamais peur à coté de mon amour et je ne souffrirais plus de le voir mourir.
Je préparai un sac de toile remplie de quelques vêtements, de nourriture ainsi d’autres babioles plus ou moins utiles dans ma route encore inconnue.
A chaque pas dans cette maison je sentais l’odeur de ma femme et les balbutiements de mon enfant qui apprenait à parlé.
Il m’avait appelé « papa ».
Le soleil était au dessus de la maison et il tapait avec une insistance tel que je du me couvrir d’un chapeau de toile.
L’odeur de mes souvenirs avait été échangée avec celle de l’huile de lanterne.
Je regarda le bâtiment de mes ancêtres, alluma une torche et la lança.
Je parti sans me retourné et des larmes s’écoulèrent de mes yeux.
J’entendais le bois craquelé et tombé, emportant mon ancienne vie dans un flot de flamme rougeâtre, mais il faillait passer à autre chose sinon je serais devenu fou dans cette grande maison vide.